Le nettoyant vapeur Sanivap produit de la vapeur d’eau à très haute température, pour un bio-nettoyage sans produits chimiques. ©DR
Dans quel contexte avez-vous retenu les solutions d’Oxy’Pharm ?
Valentine de Meyrignac : Nous recherchions une alternative plus naturelle aux systèmes classiques de bio-nettoyage, afin de limiter l’utilisation de produits détergents – un projet pour lequel nous avons bénéficié de la réflexion et du soutien de l’équipe d’hygiène. Nous avons donc testé le Sanivap dont l’efficacité nous a suffisamment convaincus pour en acquérir quatre unités.
Jacqueline Dornstetter-Welter : Le Sanivap produit en effet de la vapeur d’eau à très haute température, qui pénètre dans les moindres rainures pour décoller les salissures, sans qu’il ne soit nécessaire de recourir à des produits chimiques. Nous avons donc rapidement utilisé cette solution écoresponsable pour le bio-nettoyage quotidien des chambres, avant d’élargir ses indications au nettoyage quotidien de la salle à manger des résidents dépendants et à celui des fauteuils roulants. Là aussi, le Sanivap a démontré son efficacité pour retirer les dépôts de toutes natures, même dans les recoins les plus inaccessibles.
Valentine de Meyrignac : Nous recherchions une alternative plus naturelle aux systèmes classiques de bio-nettoyage, afin de limiter l’utilisation de produits détergents – un projet pour lequel nous avons bénéficié de la réflexion et du soutien de l’équipe d’hygiène. Nous avons donc testé le Sanivap dont l’efficacité nous a suffisamment convaincus pour en acquérir quatre unités.
Jacqueline Dornstetter-Welter : Le Sanivap produit en effet de la vapeur d’eau à très haute température, qui pénètre dans les moindres rainures pour décoller les salissures, sans qu’il ne soit nécessaire de recourir à des produits chimiques. Nous avons donc rapidement utilisé cette solution écoresponsable pour le bio-nettoyage quotidien des chambres, avant d’élargir ses indications au nettoyage quotidien de la salle à manger des résidents dépendants et à celui des fauteuils roulants. Là aussi, le Sanivap a démontré son efficacité pour retirer les dépôts de toutes natures, même dans les recoins les plus inaccessibles.
Avec le Covid, vous vous êtes également équipés avec le Nocospray pour renforcer la sécurité de vos agents et résidents.
Valentine de Meyrignac : Lors du premier confinement, nous nous demandions en effet comment désinfecter efficacement la salle à manger collective, qui nous a semblé être un lieu à risque élevé de contaminations, sans pour autant démultiplier la charge de travail de nos agents – qui étaient déjà fortement sollicités à cette période. Oxy’Pharm nous a proposé de tester le Nocospray, une solution de la gamme Nocotech.
Jacqueline Dornstetter-Welter : Le Nocospray avait à nos yeux deux atouts de taille. D’une part, il fonctionne hors présence humaine et de façon automatique, ce qui facilite la tâche de nos agents. Et de l’autre, il est à la fois hautement efficace et en adéquation avec notre stratégie éco-responsable : le produit désinfectant diffusé sous forme de brouillard sec est 100 % biodégradable, et surtout, il se réparti de manière homogène sur l’ensemble des surfaces pour assurer une désinfection optimale. Nous n’avons d’ailleurs eu aucun cluster depuis le retour des résidents dans la salle à manger.
Comment le Sanivap et le Nocospray ont-ils été accueillis par vos équipes ?
Valentine de Meyrignac : L’accueil a été positif, malgré certaines contraintes liées aux travaux en cours au sein de notre établissement, qui génèrent beaucoup de poussière et imposent un nettoyage renforcé. Sur le plan pratique, si la prise en main du Sanivap nécessite une petite formation pour acquérir la bonne gestuelle, celle du Nocospray est d’une simplicité enfantine : il suffit de le programmer en fonction du volume de la pièce à désinfecter. Ces deux procédés complémentairesont donc été rapidement adoptés par nos agents et ont assurément contribué à rassurer les équipes dans le contexte épidémique.
Article publié dans le numéro de janvier d'Ehpadia à consulter ici
Valentine de Meyrignac : Lors du premier confinement, nous nous demandions en effet comment désinfecter efficacement la salle à manger collective, qui nous a semblé être un lieu à risque élevé de contaminations, sans pour autant démultiplier la charge de travail de nos agents – qui étaient déjà fortement sollicités à cette période. Oxy’Pharm nous a proposé de tester le Nocospray, une solution de la gamme Nocotech.
Jacqueline Dornstetter-Welter : Le Nocospray avait à nos yeux deux atouts de taille. D’une part, il fonctionne hors présence humaine et de façon automatique, ce qui facilite la tâche de nos agents. Et de l’autre, il est à la fois hautement efficace et en adéquation avec notre stratégie éco-responsable : le produit désinfectant diffusé sous forme de brouillard sec est 100 % biodégradable, et surtout, il se réparti de manière homogène sur l’ensemble des surfaces pour assurer une désinfection optimale. Nous n’avons d’ailleurs eu aucun cluster depuis le retour des résidents dans la salle à manger.
Comment le Sanivap et le Nocospray ont-ils été accueillis par vos équipes ?
Valentine de Meyrignac : L’accueil a été positif, malgré certaines contraintes liées aux travaux en cours au sein de notre établissement, qui génèrent beaucoup de poussière et imposent un nettoyage renforcé. Sur le plan pratique, si la prise en main du Sanivap nécessite une petite formation pour acquérir la bonne gestuelle, celle du Nocospray est d’une simplicité enfantine : il suffit de le programmer en fonction du volume de la pièce à désinfecter. Ces deux procédés complémentairesont donc été rapidement adoptés par nos agents et ont assurément contribué à rassurer les équipes dans le contexte épidémique.
- Plus d’informations : https://www.oxypharm.net.
Article publié dans le numéro de janvier d'Ehpadia à consulter ici