Porte-parole des familles et des personnes malades, l’Association a choisi de les interroger sur leurs perceptions de la maladie, leurs difficultés, leurs conseils. Ce sondage est inédit en France car les idées reçues ont la vie dure. Longtemps on a préjugé des capacités réduites de la personne malade, en préférant souvent s’adresser aux aidants ou à une tierce personne. Le regard porté sur la personne malade a cependant évolué ces dernières années. La personne malade n’étant pas envisagée sous le seul angle de ses capacités perdues à cause de sa pathologie mais davantage sous celui de ses capacités préservées.
« S’engager sur une étude de ce type, c’était pour France Alzheimer et maladies apparentées s’affranchir de préjugés sur la capacité des personnes malades à s’exprimer en leur offrant un espace de parole. En nous adressant directement à elles, nous nous lancions vers l’inconnu avec une double question: les personnes malades sont-elles capables de prendre la parole et pour nous dire quoi ? », interroge Joël Jaouen, président de France Alzheimer et maladies apparentées.
Réalisé en partenariat avec l’Institut d’études OpinionWay entre mars et juin 2015, 1 400 personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée ont répondu à ce sondage sur la base d’un questionnaire papier et en ligne.
Le sondage fait tomber un certain nombre d’idées reçues liées à la pathologie : francealzheimer.org
Réalisé en partenariat avec l’Institut d’études OpinionWay entre mars et juin 2015, 1 400 personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée ont répondu à ce sondage sur la base d’un questionnaire papier et en ligne.
Le sondage fait tomber un certain nombre d’idées reçues liées à la pathologie : francealzheimer.org