A l’ouverture de la journée, plus une place n’était disponible dans l’Hémicycle. Au total, 125 personnes étaient en effet réunies pour écouter et intervenir, à l’envie, sur les sujets clés de la restauration collective d’aujourd’hui et de demain. Face à elles, des élus, des gestionnaires de CHU, de lycées, de collèges, de restaurations municipales, d’entreprises ou encore d’Ehpad, mais également des associations, des agriculteurs et des cuisiniers se sont partagé le micro pour livrer leur expérience et leur vision.
Des interventions de qualité concernant tant l’amont que l’aval de la filière, une belle dynamique d’échange et de partage, beaucoup d’engagement, d’exemples d’initiatives, d’alternatives et de bonnes pratiques : tout était réuni pour qu’au fil de la journée, les futurs contours de la restauration collective se dessinent, à l’unisson.
Des interventions de qualité concernant tant l’amont que l’aval de la filière, une belle dynamique d’échange et de partage, beaucoup d’engagement, d’exemples d’initiatives, d’alternatives et de bonnes pratiques : tout était réuni pour qu’au fil de la journée, les futurs contours de la restauration collective se dessinent, à l’unisson.
Des premières pistes envisagées
Dans un contexte particulièrement challengeant mêlant cadre réglementaire rigoureux, attentes sociétales et politiques fortes, situation économique tendue et montée de la précarité, la cuisine collective doit répondre à 3 défis principaux : la transition écologique, la santé publique et la cohésion sociale.
Parmi les pistes évoquées durant ces Assises pour y parvenir : la valorisation du métier de cuisinier, l’éducation au goût, la formation et l’accompagnement aux achats et à la préparation des menus ou encore la connaissance des convives, le sourcing, l’engagement politique et les projets d’établissements. Et c’est bel et bien la mutualisation des approches et l’inspiration du terrain qui semblent trôner comme les facteurs clés de réussite.
Parmi les pistes évoquées durant ces Assises pour y parvenir : la valorisation du métier de cuisinier, l’éducation au goût, la formation et l’accompagnement aux achats et à la préparation des menus ou encore la connaissance des convives, le sourcing, l’engagement politique et les projets d’établissements. Et c’est bel et bien la mutualisation des approches et l’inspiration du terrain qui semblent trôner comme les facteurs clés de réussite.
« Il faut décloisonner les actions et faire travailler les différents métiers ensemble. C’est ainsi que nous éviterons de creuser les écarts entre les établissements et que nous tirerons l’ensemble du collectif vers nos objectifs et nos enjeux. L’existant est déjà riche ! Les initiatives évoquées aujourd’hui en témoignent. En utilisant ces actions concrètes, en s’inspirant du terrain, nous pourrons nourrir notre ré exion et proposer des stratégies pertinentes. Nous prônons cette stratégie verticale du bas vers le haut, et non pas l’inverse, pour que les nouvelles politiques alimentaires aient du sens et permettent aux responsables d’établissements d’être véritablement au service des convives. Et c’est un travail à 360° que l’on doit lancer, tout est à activer simultanément, nous n’avons pas l’opportunité d’attendre », comme l’a évoqué Sylvie Dauriat, Présidente de Restau'Co durant son intervention.
Une synthèse en préparation
Afin de conserver une trace des échanges de cette journée et que ces derniers puissent bénéficier à l’ensemble des acteurs de la filière, qu’ils aient pu se joindre ou non à l’évènement, une synthèse sera réalisée à l’approche du salon RESTAU’CO qui se tiendra le 5 juin prochain à Paris Expo Porte de Versailles.