Depuis le début du confinement l'AD-PA rappelle que s'il est essentiel d'assurer la santé physique des personnes âgées vulnérables, il est tout aussi indispensable de préserver leur santé psychique.
L'AD-PA appelle donc à ce que les personnes âgées vivant en établissement puissent bénéficier elles aussi d’assouplissements dans le cadre du déconfinement de la population générale.
En effet, tout en respectant strictement et de manière absolue les mesures barrière, de distanciation sociale et de port du masque, les personnes âgées vivant en établissements doivent pouvoir aussi bien sortir des résidences qu’y recevoir leurs familles dans les parcs ou jardins des structures.
Au-delà, l’AD-PA attend du « Ségur de la Santé » qu’il débouche sur une Loi Autonomie s'appuyant sur le droit commun amenant ainsi à considérer les personnes âgées vulnérables comme tout autre concitoyen et transformer les établissements de type « EHPAD » en « domiciles regroupés » avec tous les droits afférents à ce statut.
L'AD-PA appelle donc à ce que les personnes âgées vivant en établissement puissent bénéficier elles aussi d’assouplissements dans le cadre du déconfinement de la population générale.
En effet, tout en respectant strictement et de manière absolue les mesures barrière, de distanciation sociale et de port du masque, les personnes âgées vivant en établissements doivent pouvoir aussi bien sortir des résidences qu’y recevoir leurs familles dans les parcs ou jardins des structures.
Au-delà, l’AD-PA attend du « Ségur de la Santé » qu’il débouche sur une Loi Autonomie s'appuyant sur le droit commun amenant ainsi à considérer les personnes âgées vulnérables comme tout autre concitoyen et transformer les établissements de type « EHPAD » en « domiciles regroupés » avec tous les droits afférents à ce statut.