Le Haut Conseil de l'Âge a dévoilé les résultats d'un sondage qu'il a commandé sur l’Âgisme.
L’AD-PA qui siège dans ce conseil a soutenu activement cette démarche comme elle le fait depuis fort longtemps chaque fois qu'il s'agit de mettre en évidence cette discrimination dans notre société et faire avancer le respect’âge, le respect de tous à tous les âges.
Tout d'abord, seul un tiers des Français connaissent le terme d’âgisme.
Il s'agit donc de bien faire prendre conscience à l'ensemble de la population de ce phénomène intolérable.
Quand on leur explique ce qu'est l’âgisme, les Français considèrent à 67 % que la société est âgiste même si seuls 25 % d'entre eux considèrent qu'ils le sont.
Par ailleurs, y compris chez les personnes les plus âgés elles-mêmes, à peine un tiers des Français disent qu'ils ont été victimes ou témoins de comportements âgistes (moquerie, plaisanterie, limite d'âge, abus de pouvoir ...).
Les Français considèrent que cette discrimination s'exprime dans les lieux publics plus que dans le privé alors qu'on peut penser que l'âgisme est tout aussi présent dans la sphère familiale et amicale.
L’AD-PA ajoute que ce sont les personnes les plus âgées et les plus vulnérables qui sont les plus victimes de cette discrimination, allant jusqu'à leur interdire l'accès aux droits humains les plus fondamentaux, comme la liberté d'aller venir et remettant en cause l'intérêt même de leur existence sans que cela choque la majorité de nos concitoyens.
Il reste donc beaucoup à faire.
L’AD-PA soutient la démarche du Haut Conseil de l'Âge car on ne fait reculer une discrimination qu’en la mettant en évidence et en sensibilisant les personnes concernées que sont tous les Français quel que soit leur âge.
Il s'agit pour l'AD-PA de démontrer que l'âgisme est aussi intolérable que les autres discriminations, sexisme antisémitisme, racisme homophobie...
L’AD-PA qui siège dans ce conseil a soutenu activement cette démarche comme elle le fait depuis fort longtemps chaque fois qu'il s'agit de mettre en évidence cette discrimination dans notre société et faire avancer le respect’âge, le respect de tous à tous les âges.
Tout d'abord, seul un tiers des Français connaissent le terme d’âgisme.
Il s'agit donc de bien faire prendre conscience à l'ensemble de la population de ce phénomène intolérable.
Quand on leur explique ce qu'est l’âgisme, les Français considèrent à 67 % que la société est âgiste même si seuls 25 % d'entre eux considèrent qu'ils le sont.
Par ailleurs, y compris chez les personnes les plus âgés elles-mêmes, à peine un tiers des Français disent qu'ils ont été victimes ou témoins de comportements âgistes (moquerie, plaisanterie, limite d'âge, abus de pouvoir ...).
Les Français considèrent que cette discrimination s'exprime dans les lieux publics plus que dans le privé alors qu'on peut penser que l'âgisme est tout aussi présent dans la sphère familiale et amicale.
L’AD-PA ajoute que ce sont les personnes les plus âgées et les plus vulnérables qui sont les plus victimes de cette discrimination, allant jusqu'à leur interdire l'accès aux droits humains les plus fondamentaux, comme la liberté d'aller venir et remettant en cause l'intérêt même de leur existence sans que cela choque la majorité de nos concitoyens.
Il reste donc beaucoup à faire.
L’AD-PA soutient la démarche du Haut Conseil de l'Âge car on ne fait reculer une discrimination qu’en la mettant en évidence et en sensibilisant les personnes concernées que sont tous les Français quel que soit leur âge.
Il s'agit pour l'AD-PA de démontrer que l'âgisme est aussi intolérable que les autres discriminations, sexisme antisémitisme, racisme homophobie...